18 octobre 2009
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Je viens d'écrire à mes onze collègues maires des communes de l'agglomération Toulon Provence Méditerranée.
Je considère en effet que le Plan Local de l'Habitat (PLH) sur lequel travaillent élus et services communautaires, dont le diagnostic doit être soumis au vote du Conseil de l'agglomération, n'est pas acceptable en l'état.
Il va à l'encontre du devoir de solidarité dû par la puissance publique à nos 450.000 concitoyens, dont les trois quarts, il faut le savoir, sont éligibles, à l'instar de tous les Varois, au logement social.
Je suis, vous le savez, empreint d'un esprit de loyauté et de solidarité dans l'exercice de mon mandat de vice président de l'agglomération. Je le réaffirme ici : je vivrais comme un échec un vote non unanime des délégués des douze communes, ce qui ne s'est jamais produit depuis mon élection.
Mais si, malgré l'urgence, nous ne nous accordions pas le temps d'amender notre projet, nous ne serions pas collectivement à la hauteur de la réponse attendue par des milliers d'habitants du "Grand Toulon". Et pas seulement les plus modestes.
En lisant ma lettre, vous ne noterez aucune menace de vote contre ce projet. J'ai espoir et confiance dans le bon sens des élus de notre petit bout de République.
Puissent-ils entendre mon plaidoyer.
Je considère en effet que le Plan Local de l'Habitat (PLH) sur lequel travaillent élus et services communautaires, dont le diagnostic doit être soumis au vote du Conseil de l'agglomération, n'est pas acceptable en l'état.
Il va à l'encontre du devoir de solidarité dû par la puissance publique à nos 450.000 concitoyens, dont les trois quarts, il faut le savoir, sont éligibles, à l'instar de tous les Varois, au logement social.
Je suis, vous le savez, empreint d'un esprit de loyauté et de solidarité dans l'exercice de mon mandat de vice président de l'agglomération. Je le réaffirme ici : je vivrais comme un échec un vote non unanime des délégués des douze communes, ce qui ne s'est jamais produit depuis mon élection.
Mais si, malgré l'urgence, nous ne nous accordions pas le temps d'amender notre projet, nous ne serions pas collectivement à la hauteur de la réponse attendue par des milliers d'habitants du "Grand Toulon". Et pas seulement les plus modestes.
En lisant ma lettre, vous ne noterez aucune menace de vote contre ce projet. J'ai espoir et confiance dans le bon sens des élus de notre petit bout de République.
Puissent-ils entendre mon plaidoyer.
Publié par Marc Vuillemot
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dans
Rénovation urbaine - aménagements et habitat